Madame Valérie Trierweiler, née Massonneau, est une journaliste politique et animatrice de télévision, née le 16 février 1965 à Angers, Membre de la rédaction  de Paris Match, elle présente entre 2005 et 2011, des émissions politiques

Depuis le milieu des années 2000 elle partage sa vie avec François Hollande.

 Lors de sa campagne présidentielle, Valérie Trierweiler dispose d'un bureau au siège de campagne du candidat du PS,  François Hollande étant le 24^e président de la République depuis le 15 mai 2012, elle est présentée comme la « Première dame de France » bien qu'elle ne soit pas mariée à l'actuel chef de l'État et qu'elle refuse le terme.

 Elle assiste à l'investiture de François Hollande, où pour la première fois une « passation de témoin » entre Premières dames a lieu, elle dispose d'un cabinet composé d’une chargée de mission, de deux secrétaires, plus un chauffeur, dispositif plus réduit que celui de Carla Bruni-Sarkozy. Lors d'une visite d'une école en marge du sommet de l'OTAN à Chicago, elle déclare avoir l'ambition de devenir « ambassadrice de l'égalité des chances ».

Elle publie François Hollande président. 400 jours dans les coulisses d'une victoire, un album de photos légendées, mais les ventes s'avèrent très décevantes.

SES POINTS   FORTS :

L'indépendance:

Affirmant son indépendance, elle poursuit sa chronique littéraire hebdomadaire dans Paris Match.

François Hollande déclare lors de l’interview qui suit le défilé du 14 juillet « Valérie veut garder son activité professionnelle. Je le comprends. Elle sera présente à mes côtés lorsque le protocole l’exigera, et ce n’est pas très fréquent ». Le conseiller spécial du président, précise :" Les temps ont changé. Aujourd'hui, nous avons une Première dame qui travaille. Il faut s’adapter. Ne soyons pas plus royaliste que le roi. On peut être journaliste culturel et ne pas interférer avec la politique^." Elle annonce par la suite renoncer à animer une émission de télévision sur D8, où elle était pressentie^.

L'engagement :

En septembre, elle devient ambassadrice  de la fondation Danielle Mitterrand,  elle effectue son premier déplacement officiel en l’absence de François Hollande, afin « d'aborder la question du soutien aux enfants, aux femmes, mais aussi aux populations déplacées du fait de la guerre ». En tant qu'ambassadrice elle s'engage  à défendre les femmes victimes de violences sexuelles dans ces régions marquées par les conflits ; elle déclare ainsi : « il n'y a plus de doute, il faut s'engager, il faut briser le silence ». Elle a ainsi réaffirmé son engagement en faveur du Mali et de la République Démocratique du Congo. Valérie Trierweiler agira pour soutenir les écoles défavorisées et défendra la cause des femmes violées.
En France, la compagne de François Hollande  milite pour que l'enfance maltraitée devienne grande cause nationale en 2014. Un à deux enfants meurent chaque jour dans notre pays sous les coups d'un parent, une réalité que Valérie Trierweiler juge "insupportable".

La réalité :

Mère avant tout, Valérie Trierweiler  revendique être : "Une mère ordinaire qui fait le ménage ".

Valérie Trierweiler a tenu à présenter son quotidien de mère "avant tout". Celle qui parle "dix fois par jour" à ses enfants au téléphone, n'est pas tombée dans l'ivresse des ors de la république et du faste.

Ancrée dans la réalité, Valérie Trierweiler garde tout de même un oeil attentif aux critiques dont elle est l'objet. Et lorsqu'il s'agit du prix de ses tenues elle monte au créneau.

 

L'ambiguïté :

Une femme ordinaire. C'est sous ses dehors rassurants que Valérie Trierweiler s'est présentée sur le plateau de l'émission "C à Vous", la Première Dame a joué la carte de la transparence. La compagne de François Hollande n'a évité aucun sujet. Pas même ceux qui fâchent.

 

Le choix:   

Lors d’un déplacement pour la fondation Danielle Mitterrand, elle déclare finalement assumer le rôle de Première dame, reconnaissant avoir auparavant « tâtonné » .Alors qu’elle visite une école, elle déclare à des enfants à propos de son rôle : « Ça fait très peur, au début. On ne sait pas ce qu’il faut faire. Ensuite, on apprend, comme vous à l’école », août 2013, elle déclare à l'occasion d'un déplacement avec des enfants défavorisés : « Je crois qu'aujourd'hui je me sens bien dans mon rôle » Source sur Plurielles.fr : Valérie Trierweiler se confie sur son rôle de première dame

 

"Je connais les codes ", se persuade l'ancienne journaliste, depuis qu'elle a franchi le perron du palais de l'Élysée. Forte de sa culture politique, sûre de son choix, sure  jusque dans ses élans impétueux, Valérie Trierweiler n'a pas écouté l'avertissement de Carla Bruni qui l'avait prévenue lors de la passation de pouvoirs.

SES FAIBLESSES :

La gaffe :   le « Tweetgate » 

dans l'entre-deux tours des élections législatives de 2012, quelques heures après que Ségolène Royal a annoncé avoir reçu le soutien de son ancien compagnon François Hollande, les encouragements adressés sur son compte Twitter par Valérie Trierweiler à Olivier Falorni,  candidat socialiste face à l'ancienne compagne du président de la République, posent la question de sa place dans le paysage politique français, et celle de la frontière entre vie privée et sphère publique.  Cet événement a reçu le nom de « Tweetgate » ou « Trierweilergate » dans les médias, en référence au fameux scandale du Watergate, car il provoqua des tensions entre certains membres du Parti socialiste et la compagne de François Hollande,  et aussi au sein de la famille du président de la République, son fils Thomas estimant un mois plus tard que ce tweet avait détruit l'« image normale » que son père avait construite. En septembre de la même année, elle déclare que « c'était une erreur » et qu’elle le regrette.

 

L'incertitude:

Le rôle de première dame ?

Ainsi, elle déclare, concernant ce rôle, à la suite de la victoire de François Hollande » : « Il n'y a pas de définition précise, j'ai besoin de réfléchir. […] Ce sera plus facile une fois l'investiture passée, une fois que j'aurai vraiment réalisé.

 

Conclusions :

Un portrait,  très incomplet,  de cette femme au caractère   audacieux   et dont l'influence  sur  son compagnon, peut  avoir  des conséquences.

Une femme qui a du mal à trouver sa place et à se nommer ou renommer, elle s'appelle toujours Trierweiller.

Avant d'être la compagne du Président de la République, Valérie Trierweiler est avant tout une mère, ce qui l'empêche de se couper des réalités, elle se dit " une  femme ordinaire ", en dévoilant  très simplement  le programme de ses vacances avec le Président, " Des occupations finalement tout ce qu'il y a de plus normales".

Et pourtant : l'évidence est que ce rôle de première dame est tout sauf quelque chose   d'ordinaire , mais  avant tout quelque chose d ' extraordinaire.

Le regard de madame Trierweiler est un regard qui en dit long, elle veut tout simplement poursuivre le chemin qu'elle s'est fixée et pour lequel elle s'est engagée. 

Elle veut servir son pays, rendre service, servir une cause, laisser une trace de son passage en réalisant du bien. C'est une femme digne, orgueilleuse, fragile, sensible et forte à la fois, qui prends sur elle pour réaliser ce  quelle à choisi, "un sacerdoce " en réalité.  

La voilà ébranlée, bousculée dans ce qui compte le plus pour elle," la confiance "

La publication d'un  article dans un journal à scandale d'une possible liaison du Président avec une actrice,  et la voilà mise au rang de  Première dame  trompée, "elle a piqué une véritable crise de nerfs", selon les propos de l'un de ses proches rapportés par le journal satirique.

Pour  Madame Trierweiler   le plus important est d 'être digne de son engagement, ce n' est pas une girouette mais une femme de cœur, elle mérite sa place  de première dame, en revanche  elle portera cette déchirure au fond d 'elle jusqu'au bout, ce sera douloureux très longtemps, alors elle  pardonnera…….ou  pas . 

 

Source wikipédia

Source sur Plurielles.fr : Valérie Trierweiler se confie sur son rôle de première dameSource " la fraudeuse

Alix Bouilhaguet (Auteur), Christophe Jakubyszyn (Auteur)