
Aux Etats-Unis
Elle explique ses débuts : « Je ne voulais pas en faire mon métier. C’est en rencontrant une astrologue que j’ai découvert cette passion et j’ai voulu la partager. J’ai suivi des cours particuliers pour maîtriser les influences des planètes. » A l’occasion de la campagne présidentielle américaine, Meredith Duquesne travaille actuellement pour le camp démocrate. Elle voit d’ailleurs un changement d’opinion pour le mois de mars. Mais cela ne l’empêche de faire des prévisions dans des domaines complètement différents. « Pour la finale de la Star Academy, je voyais Quentin gagner alors que les observateurs pensaient que Mathieu, le chouchou du public, allait l’emporter. A deux jours près, ça aurait été Mathieu. » Elle tient à préciser que les personnes doivent corriger le tir lorsque la période est défavorable et profiter de certaines phases avantageuses. « L’astrologie est comme une caisse à outils : je donne les clefs et ce sont à mes clients de les utiliser à bon escient. » N’utilisant que les astres, Meredith Duquesne admet qu’elle peut se tromper. Néanmoins, elle assume ses erreurs. Lors de l’élection présidentielle française, elle donnait Ségolène Royal gagnante, parce qu’elle est « de gauche ». Elle s’est tout de même justifiée alors qu’une de ses consœurs a préféré supprimer ses mauvaises prédictions.
Sylvie Cariou lors d'une consultation Cafédomancie au salon Parapsy: Image TF1
La passion de Sylvie Cariou
Sylvie Cariou est « cafédomancienne » : elle lit l’avenir dans le marc de café. Elle fait aussi ses prédictions grâce aux tarots de Mlle Lenormand, voyante de Louis XIV. Tout a commencé lorsque, enfant, elle a guéri une camarade d’une entorse de la cheville. Elle prend alors conscience de sa vocation. En 1995, Sylvie ouvre un restaurant, Le Marc de Café, et propose à ses clients une consultation à la fin du dîner. Elle décide alors d’en faire son métier. Sylvie Cariou monte à Paris quelque temps après. Le succès vient rapidement : dix-huit clients se présentent pour obtenir une séance la même journée. D'un grand professionnalisme, elle considère que les gens doivent conserver un libre arbitre. Peu importe la vision, les clients doivent se faire leur propre opinion.
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