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Vies antérieures d'Alexandre Benalla

2018

si vous croyez au karma, à la réincarnation, alors découvrez qui était "Alexandre Benalla"

"Je veux apprendre un peu l'humilité"... Heu, OK, d'accord ! Donc, nous avons, au delà du voile, une âme jeune. Enfin, plus si "jeune" que cela, même si le temps n'a pas vraiment d'emprise du côté du monde des esprits.


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Mais cette psyché se rend compte, lors de ses vies passées, de son amour pour le pouvoir, une soif de reconnaissance terrestre sans limites. En soit, rien de bien nouveau. Tout le monde a probablement choisi de naître avec du sang bleu, lorsque la royauté avait encore une grande importance dans la société, voir a pu peut-être une ou deux fois, approcher la famille royale. Mais les places sont chères. Logiquement, beaucoup de demandes d'atmas pour se réincarner en prince / princesse, peu d'élus. Cela fait également partie de l'apprentissage de la vie d'une âme, en vue d'apprendre spirituellement, d'expérimenter la pauvreté, la discrimination, le violence... ou la richesse matérielle, le vedettariat, etc. Très bien, j'entends déjà certains me rétorquer, mais quid de notre protagoniste présent, à savoir Alexandre Benalla ? !


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J'y arrive. Après ce long préliminaire, nécessaire à introduire son chemin de vie et expliquer son passé en tant qu'esprit, il a choisi sa vie en conséquence : d'abord une carrure de gorille (1,86 m et 90 kg impressionnent plus que la petite médium que je représente avec mes 1,56m...), ensuite un environnement d'enfance qui le prédispose à ce choix karmique (banlieue sensible) et enfin le caractère approprié : arrogant, aimant le risque, impulsif, extraverti. Car oui, d'une vie sur l'autre, même si notre substantifique moelle (psyché) demeure identique, l'enveloppe charnelle et la personnalité ("l'ego") bougent. Comme à l'image de la majorité de ses existences antérieures, celle-ci se devait être également flamboyante. Du jeune noble voulant tout révolutionner en Mésopotamie antique (et exécuté pour sa trahison), en passant par l'un des nombreux esclaves suivant Spartacus (je vous laisse deviner sa fin terrestre tragique) ayant soif de liberté, ou le conquistador mort de maladie à la conquête des richesses du Nouveau Monde, il laisse souvent une emprunte de violence, qu'elle soit verbale ou physique, dans son sillage.


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Afin d'avoir néanmoins la possibilité de se reconstruire, tant socialement, que psychologiquement, que professionnellement (s'il le désire toujours) et surtout d'avancer psychiquement, il lui fallait pouvoir prétendre, dès le départ, au "pouvoir derrière le trône". Parce que oui, d'ici quelques temps, il retournera à son anonymat d'où les médias l'en ont sorti. A lui, à ce moment-là, de tirer les conclusions spirituelles de cette aventure... ou pas ! (Le libre arbitre, toujours) Quelle meilleure fonction que celle de garde du corps (officielle ou officieuse) de notre actuel Président de la République ?



Αθηνά ο Δίας PhD,

"Θάνατος μαύρος αδερφός,

Θάνατος θα γίνω αθάνατος"

Athina Odias pour AVS/2018
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